Vendredi soir: C'est le dernier jour du cours de piscine et les maîtres nageurs ont préparé une petite fiche d'évaluation à remplir par les parents.
Mon premier réflexe : j'ai pas le temps.
Mon deuxième mouvement: ce cours était top, enfin un, je vais leur dire quand même.
Je passe sur le troisième temps, celui où je me pourris parce que encore une fois je me rends compte que j'ai du temps, en fait, si je veux, alors que je n'arrête pas de me dire le contraire.
Je passe, donc.
Lundi matin: rendez-vous chez le médecin. J'avise une affichette dans la salle de consultation: "Si vous avez reçu un service excellent aujourd'hui, faites-le nous savoir!", avec nécessaire à mots doux en libre service juste à côté. The doctor is begging for his "Good job!"
Lundi matin: rendez-vous chez le médecin. J'avise une affichette dans la salle de consultation: "Si vous avez reçu un service excellent aujourd'hui, faites-le nous savoir!", avec nécessaire à mots doux en libre service juste à côté. The doctor is begging for his "Good job!"
Un petit squizz spatio-temporel et je me retrouve il y a 18 mois en fin de cours de management à Berkeley Extension, olalala c'était tellement du flan que j'avais là aussi pris le soin de bien remplir l'évaluation et de noircir avec application le plus grand nombre de petits ronds placés dans la colonne virulente, tout en prenant bien garde de rester totalement éthique et honnête dans mon lancer d'oeufs pourris (deuxième pourris dans ce post, troublant).
Moralité:
Ne pas avoir le temps pour le moyen, passe encore, mais il faut absolument le trouver pour le très bien, parce que, même si nous ne l'entendons ou ne le lisons pas toujours, nos alter egos humains (et nous donc) nous le demandent ... et aussi pour le très mauvais, histoire de donner au produit des chances d'amélioration subséquente, pour d'autres que nous certes, mais ne soyons pas rats.
Questions:
Quel ratio entre nos feed back positifs et nos feed back négatifs?
Nous procurent-ils la même chose?